samedi 31 janvier 2009

narco corrido


Dans un pays ou le folklore est un mélange de réalité et de tequila, le narco corrido est peut- être l'exemple le plus frappant de la créativité Mexicaine.
Le narco corrido, est une chanson populaire comptant l'histoire de trafiquants qui peuplent cette terre bénit par des dieux bourrés. ils décrivent avec exactitude chaque scènes de crimes sur un ton enjoué. Il a était démontré que certaines de c'est compositions étaient commandés par les criminels dont sont rapportés les sanglants éclats.
De nos jours une réelle lutte est menée par les autorités Mexicaines a l'encontre de certaines de c'est chansons, comme une interdiction d'antenne et d'écoute publique.
La première pièce remonte aux années 30, écrite par Ramirez Pimienta, mais les plus connu, et ce qui en on fait un genre musical a part entière sont, Los alegres de teran, un duo qui vantaient dans les années 50, la contrebande de drogue et de cannelle, ils composèrent la référence du style "El paso de contrebando".
Le narco corrido resta une chanson mineure bien que très productives, forcement les activités liés aux crimes de prés ou de loin sont toujours très productives, surtout au Mexique.
Quelques groupes sortiront du lot avec Los tigres del norte, essentiellement composé de la famille Hernandes, qui selon certaines rumeurs serait étrangement amis avec le milieux, évidemment ce ne sont que des rumeurs, mais en Amérique du sud qui n'est pas liés avec le milieux.
C'est dans les années 90 et 2000 que le genre connaîtra une ascension phénoménale avec la mort d'une épée, El pelavacas, Rosalino Sanchez, dit el chalino, une sorte d'Elvis sud américain, qui a fuit son pays natal après avoir assassiné un trafiquant qui aurait violé sa petite sœur. quelle paire de corones, dios!
Ses chansons étaient de véritables reportages, il puisait son inspiration dans les camps de réfugiés mexicains qui d'échappés de régions comme Tijuana, fortement touchés par la drogue et la violence. Il sera assassiné le 20 janvier 1992. A sa mort des dizaines de sosies prendront la relevé.


Le narco corrido pendant ses dix glorieuses prendra pour certains un autre chemin, ils n'utiliseront que le style de chant et la mélodie mais ne s'aventureront plus a compter les mésaventures des méchants et des gentils, d'ailleurs je ne serais pas vous dire qui est qui dans ce genre d'histoire. Certains vont même jusqu'à parodier le genre. Comme le morceau Narcocholo de Sergio Enriquéz Valdes, comptant l'histoire d'un tromblon, un G. Branquignol.

Mais il reste encore des courageux, qui, ivres, sur des terrasses vocifèrent les louanges des bandidos, après tout un proverbe mexicains ne dit-il pas : " Tequila Sunrise, con los ojos rojos, un dia vamos a morir, escandaloso!"
Place a la chanson...

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