dimanche 22 avril 2012

Puppetmastaz


Dead of Night (1945) -- (Movie Clip) Maxwell Free
 
 
 
 LA QUATRIÈME DIMENSION - EPISODE 98 - THE TWILIGHT ZONE - THE DUMMY
 
 



Tales From The Crypt - The Ventriloquist`s Dummy - Season 2 - Episode 10 - 

mercredi 2 novembre 2011

Trois fois rien, c'est déjà quelque chose.


Suite à la sortie de le préquelle de "The Thing", portant d'ailleurs le même nom,  bon nombres d’internautes ont réussi avec le matériel original  à rendre hommage au chef d’œuvre de John Carpenter, tout en se moquant de la nouvelle version, lorgnant plus sur une version calqué de ce monument du cinématographe que vers une éclaircissement des faits entraînant la situation du film, même avec cet argument, ce dernier est peu intéressant en soi.
Ce que nous dit ces trois montage, qui sont comique en soit, tout d'abord est que il faut être original avant tout dans son discours. On peut comme l'a fait Carpenter réemployer des personnages, une même situation, mais le faire avec un angle différent. Non pas recopier sur le modèle, car il vaut toujours mieux l'original et sa naïveté que la version resucée sachant le succès qu'a obtenue le premier, ou le deuxième du nom.





jeudi 29 septembre 2011

Blackthorn



Le western ne ressuscite pas chaque fois qu'un film de ce type est produit, il est comme tout autre genre et style. Il est présent dans l'inconscient, que ce soit celui des spectateurs tout comme des réalisateurs, étant tout d'abord eux aussi spectateur  de ces derniers. Il fait partie d'une catégorie assez ancienne ou le spectacle avait une composante épique, chose qui est à présent galvaudé voir désuète de la part de la production mondiale, et qui est au mis au gout du jour par des cinéaste soucieux de faire des films comme antan et garde ainsi tout son charme. C'est dans cette optique que que sort Blackthorn, ces grands défauts sont cette volonté de tout expliquer par des bancs titres au début et  ces nombreux flashback de la jeunesse de Butch Cassdy et le Kid que ne peuvent eux remplacer ceux joué par Paul Newman et Robert Redford, qui n'apportent que très peu au film et ne font que le saturer  d'informations inécessaire.

La première partie est assez plate, elle respecte les codes du western. De beaux paysages, de beaux plans avec des travelling magnifiques, des indiens, des gentils, des cowboys et un passé glorieux emplie de liberté. Sur lequel se greffe l'histoire (fictive ou pas on s'en fiche) de Butch Cassidy supposé mort qui s'allie à présent avec un jeune ingénieur espagnol pour faire un dernier coup. Mais au  bout d'un moment le film change sans que le spectateur s'en aperçoive.
Mais à partir de la, le film change, ce qui était purement figuratif avec des références aux classique du genre, devient politique et philosophique. Le but qu'ils pourchassent tout deux est vain est non pas remplie d'idéaux et de liberté, mais bien pourrie. Comme dit le vieux gringo, " dans quelle époque on vit !!".
Une scène de type dramatique entre Butch et l'inspecteur qui le poursuivait semble être l'antithèse complète de la fin des Misérables, la ou Javert se résout à ne plus poursuivre Valjean car il se rend compte qu'il est bon, dans Blackthorn, le shériff américain aprés avoir admirer le talent du bandit qu'il recherchait et poursuivie le laisse partir aussi. Mais le laissant face à sa morale, car il est lassé de le poursuivre, préférant garder pour lui l'image d'un bandit d'honneur et non celui d'un minable pilleur.
Donc le film devient moral en second lieu et donne plus de relief à l'ensemble qui semblait très académique à mon gout, et laisse un très bonne impression à ce western à la fois classique dans ces formes, mais politique par la suite. Par exemple la fin ressemble un peu à celle du " Le bon, la brute et le truand", mais la conclusion en est différente. Tuco par exemple est bien meilleur que l'espagnol, est la conclusion du film est bien différente, ou chacun mérite son sort.

mercredi 28 septembre 2011

Les films d'horreurs sont peu éloignés de la réalité, juste ce qu'il faut de décalage pour étre une fiction.


Chapeau à Arte pour hier soir d'avoir diffuser ce film, qui de par son style et sa critique est une attaque aux valeurs télévisuelles actuelles et en vogue.
Cette longue introduction dans la casernes et cette grammaire télévisuelle tellement présente en Espagne est restitué à la perfection dans sa bêtise. Ou  à présent chaque chaine à son programme quotidien en direct sur le quotidien les gens de la rue. L'intelligence du film est déjà de nous présenter l'envers du décors, dans les rush et les non dits de ce genre de reportage qui ne cherche que le racoleur.
Après avoir poser les bases réalistes et critique du film celui ci s'assume en tant que film d'horreur fauché mais gonflé. C'est le  principe du train fantôme par excellence, de la tension, du sang, une intrigue qui tient la route.
Rajouté à ça encore de la suspicion entre les protagonistes, un racisme quotidien que ne dit pas son nom entre les voisins et la caméra sur l'épaule d'un des protagonistes font de ce film une œuvre terriblement originale pour le cinéma tout simplement ,de part toutes ces qualités.

mercredi 27 juillet 2011

Art is a serious matter.

Stanley Kubrick -1949 with Rosemary Williams a showgirl.

Sur le plateau de 2001, Kubrick ne travaillait que avec des équipes réduites mais ne comptait pas le temps de tournage, qui pouvaient être extrêmement long sur la durée.

Jack Nicholson semble toujours se marrer plus que les autres. Ici sur le plateau de Shining.