jeudi 29 janvier 2009

Jacques Cousteau & Jacques Clouseau.




Ils étaient les deux représentants autrefois de la France, l’un dans la fiction et l’autre dans la réalité. Chacun avait ses signes reconnaissable, l’un avec son bonnet rouge comme élément distinctif et l’autre avec son imperméable, son chapeau et sa moustache, comme signe particuliers à première vue.

Bien qu’il fût interpréter par le génialissime acteur Anglais Peter Sellers, Jacques Clouseau est dans son être et son essence un personnage typiquement Français. Dans sa façon de parler l'Anglais si charmante grâce à l’accent Français qu’il su imiter si bien, à sa façon si pédante de jouer également mais sans trop en faire, juste ce qu’il en faut. Il correspond à un archétype de antihéros à la française, qui plait et qui marche au prés du public, car les français se reconnaisse dans ce modèle suffisamment pour en rire. Il y à de nombreux personnages qui rentre dans se cadre ; commençant par Jacques Tati, peut être le modèle principal de l’inspecteur. Grand nigaud, vêtue d’un imperméable, un petit chapeau et déambulant sans savoir à quoi s’attendre , mais qui retombe toujours sur ces pattes. Sinon Pierre Richard, l’autre penchant du naïf français, qui subit à ses dépend les actions des autres mais à qui la chance lui sourit toujours. Le même cas pour les autres acteurs ayant interpréter aussi à François Pignon avec plus ou moins de réussite, passant de Jacques Brel jusqu'à Gad Elmaleh. Sinon dans la culture de la bande dessiné, avec Gaston Lagaf, idole des plus jeune, qui est l’employé de bureau sot qui n’en fait qu’a sa tète de bourricot sans jamais réussir à se faire mettre dehors.

Cousteau lui est l’autre facette du Français si admirer, celui qui explore, qui cherche, qui explique, un personnage de Jules Verne en vrai. Son coté patriarcal et son savoir quasiment encyclopédique sur le monde marin l’a rendue légendaire par des légions de téléspectateurs et pas seulement en France. Le fait d’explorer ce monde si inconnue et mystérieux des fonds marins, qui est régit par le monde animal du silence et tente de nous en familiariser devient alors merveilleux. Son coté aventurier, baroudeur des mers lui vient de son passé militaire, il à su mettre son expérience et son courage du côté de la recherche scientifique pour explorer de façon pacifique (terme jamais mieux utiliser) les océans. Son élégance, sa façon de mise en avant, sa générosité même à un âge avancé ont fait de lui un capitaine de cœur pour beaucoup de gens et à donner une poésie à un monde si peu connue et fascinant, qui est celui des profondeur des fond marins. Son impétuosité, son caractère n’a rien du cliché français de pleurnichard, ni de pas savoir se débrouiller, d’être en recours d’une certaine malice en somme. Ce n’est pas son cas, avec toute la justesse du monde, il traverse les mers et analyse et étude la faune des profondeurs avec grâce.

A la fin, l’inspecteur tente de résoudre l’enquête dans un déluge d’un monde absurde au possible, et le commandant explore un monde ou la naïveté et la principale qualité à avoir pour pouvoir l’apprécier.
Jacques à dut regarder, Jacques à dut rigoler.

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