samedi 17 avril 2010

"Il n’y a pas de solution car il n’y a pas de problème. " (Marcel Duchamp)

Dans le cinéma, le principal inconvénient dans la mise en scéne correspond à la durée de celle-ci. Elle doit être relativement courte afin que le spectateur ai saisie de quoi il s'agit dans un laps de temps, qui est conventionné avec le scénariste ou le réalisateur. Les autres arts figuratifs n'ont pas ce problème la. Un livre se lit sans compte à rebours, intrinsèquement de sa qualité. Une photographie s'apprécie un instant et donne à réfléchir, par exemple. Le cinéma lui déjà en tant qu'objet animé laisse entrevoir le final de son discours. Pour ce faire, l'idée de fin doit prendre corps dans l'esprit de son créateur et doit servir son propos. Mais celui-ci ne correspond à aucune règle préétablie. Que ce soit une fin allant dans la continuité de la narration et qui s'impose. Mais sinon elle peut être un élément de surprise avec le public ou même d'incompréhension, dans le sens qu'il peut générer. En voici quelques exemples à travers différents genres.

- Final de film ouvert :


" Il y à deux genre de types dans la vie..."
Final ouvert du "bon, la brute et le truand", avec le mémorable Tuco et Blondin.



Final de "In the Mouth of Madness", Le protagoniste se voit lui même dans le film que nous venons de voir.



- Besoin d'un Happy end ??


Final de "Risata di Gioia". La comédie à l'Italienne.


Final impressionnant de "Mulholland Drive", qu'importe alors le sens. Celui-ci correspond à vous de le mettre, l'émotion elle viens toute seule.