samedi 31 janvier 2009

La sociéte et le spectacle.


La finesse où la rudesse dans le traitement où dans la représentation d’un spectacle est un élément qui souvent conditionne son spectateur. Sa position sociale, son bon goût où mauvais goût étant en jeu. Cependant les temps et les médias ont su rire d’éléments grotesque d’autrefois où considérer comme kitsch, selon les temps et les à intégrer dans une culture légitime et à su en faire une composante esthétique primordiale d’une composante sociale. Néanmoins ils sont compatibles et ne sont plus d’objets de honte et de cachoterie, juste de vivre épanouie tenant en compte les fantaisies et les pensées de chacun.


Pour exemple, dans le monde du football, aucun match n’est le même et rajoute intérêt dans son spectacle qui se répètes chaque trois jours quasiment. Il peut être un magnifique match, au score nul mais trépident d’intérêt, de rythme, d’attaque sans relâche des deux équipes, où l’intérêt est la recherche du but, tel une récompense ultime dans le cadre de ce match bien précis. Ce même score peut être le résultat du pire match inimaginable qu’un spectateur puisse avoir vue également et désirant alors passer à autre chose le plus vite possible. Tout son contraire est envisageable encore une fois, une avalanche de buts, de faute, de drame interne en somme qui se succède à l’intérieur du rectangle de jeu et qui donne une force quasiment mythique à cette partie et qui rend alors les spectateurs en extase et rentrera dans la légende de l'histoire de ce sport.

Cela vaux pour tout autre spectacle donc; une pièce de théâtre de vaudeville jusqu’au monologue, tradition artistique et scénique où souvent les traits des personnages doivent être grossier pour rendre mieux et de façon manichéenne. Jusqu'à la pièce la plus critique, dans la forme où dans son discours, ici la parole déborde dans tout ces aspects de la scène, pour parler directement aux spectateurs assis en face. Dans le registre comique également, passant de quelqu’un comme Raymond Devos jusqu'à son opposer dans le spectre du risible tel que l’est Bigard par exemple, où chaque un à son public et ses inconditionnels. Voir même les grands génies, Chaplin qui est plus grossier que l'élégant Keaton, mais tout deux géniaux et avec ses partisans mais dans un registre du comique muet différent déjà alors. Dans le cas du cinéma, qui est le cas en terme de média le plus intéressant je trouve, on peut passer du film littéraire jusqu'à la série Z avec le même intérêt premier, car une image en mouvement est de nature égale, similaire à elle-même en somme. Dans les films d’ordre relationnels, du film le plus fleur bleu qui aura forcement un certain public et son contraire, le film le plus brutalement pornographique imaginable est présent et reconnue par un (des ) public(s). Où dans le cas du film fantastique, celui ici évoqué dans le sens le plus noble en terme littéraire, avec un doute tout au long de sa durée et de sa dyégese et celui d’horreur , de type gore le plus voyeur comme chez Gordon Lewis, Fulci et autres qui ne montre que viscères et profusion de sang.


C’est justement la la question, le voyeurisme qui est en jeu dans le spectacle. Un peu se conformer avec peu d’éléments mais beaucoup d’intentions et d’idées, préférant s’imaginer plutôt que concrétiser, cela peut nous amener à différents interprétations dû à la suggestion et où le peu de moyens mis en jeu . Il en va alors de même pour son contraire, un déchainement où l’élément d’humour, l'artifice et des recours possible dans le laps de temps impartie et dans sa dossification. Parfois à travers une forte grossièreté dans ce cadre s’échappe un élément d’une finesse inimaginable et émerge une poésie, une finesse, une idée, une évocation du à un regard, une position, un effet qui donne une lecture plus animale, plus pulsionnelle dans la justification et la possibilité de celle-ci face à son contraire esthétique. Des lors, lorsque le ce coté humain, primaire chez le spectateur est combler il est autant épanouie voir plus que l’autre avec ces questions. Lorsque la culture trash cohabite avec la plus fine et bourgeoise et s’entremêle sur la question de goût, la question ne se pose plus, il suffit juste alors d’en avoir.


narco corrido


Dans un pays ou le folklore est un mélange de réalité et de tequila, le narco corrido est peut- être l'exemple le plus frappant de la créativité Mexicaine.
Le narco corrido, est une chanson populaire comptant l'histoire de trafiquants qui peuplent cette terre bénit par des dieux bourrés. ils décrivent avec exactitude chaque scènes de crimes sur un ton enjoué. Il a était démontré que certaines de c'est compositions étaient commandés par les criminels dont sont rapportés les sanglants éclats.
De nos jours une réelle lutte est menée par les autorités Mexicaines a l'encontre de certaines de c'est chansons, comme une interdiction d'antenne et d'écoute publique.
La première pièce remonte aux années 30, écrite par Ramirez Pimienta, mais les plus connu, et ce qui en on fait un genre musical a part entière sont, Los alegres de teran, un duo qui vantaient dans les années 50, la contrebande de drogue et de cannelle, ils composèrent la référence du style "El paso de contrebando".
Le narco corrido resta une chanson mineure bien que très productives, forcement les activités liés aux crimes de prés ou de loin sont toujours très productives, surtout au Mexique.
Quelques groupes sortiront du lot avec Los tigres del norte, essentiellement composé de la famille Hernandes, qui selon certaines rumeurs serait étrangement amis avec le milieux, évidemment ce ne sont que des rumeurs, mais en Amérique du sud qui n'est pas liés avec le milieux.
C'est dans les années 90 et 2000 que le genre connaîtra une ascension phénoménale avec la mort d'une épée, El pelavacas, Rosalino Sanchez, dit el chalino, une sorte d'Elvis sud américain, qui a fuit son pays natal après avoir assassiné un trafiquant qui aurait violé sa petite sœur. quelle paire de corones, dios!
Ses chansons étaient de véritables reportages, il puisait son inspiration dans les camps de réfugiés mexicains qui d'échappés de régions comme Tijuana, fortement touchés par la drogue et la violence. Il sera assassiné le 20 janvier 1992. A sa mort des dizaines de sosies prendront la relevé.


Le narco corrido pendant ses dix glorieuses prendra pour certains un autre chemin, ils n'utiliseront que le style de chant et la mélodie mais ne s'aventureront plus a compter les mésaventures des méchants et des gentils, d'ailleurs je ne serais pas vous dire qui est qui dans ce genre d'histoire. Certains vont même jusqu'à parodier le genre. Comme le morceau Narcocholo de Sergio Enriquéz Valdes, comptant l'histoire d'un tromblon, un G. Branquignol.

Mais il reste encore des courageux, qui, ivres, sur des terrasses vocifèrent les louanges des bandidos, après tout un proverbe mexicains ne dit-il pas : " Tequila Sunrise, con los ojos rojos, un dia vamos a morir, escandaloso!"
Place a la chanson...

vendredi 30 janvier 2009

Escudero & Garcimore.


Ils sont avec Salvador Dali et Paco Rabanne également, cousins lointains tous deux d’ailleurs, les Espagnols ayant le plus réussi aux dépend des Français. Le premier, au nom d’écuyer s’étant posté au plus prés de la frontière avec la France, du coté du Perthus pour vendre alcool et marchandises aux frontaliers. Le rigolard lui en faisant un peu d’art et n’importe quoi auprès des gaulois, sachant jouer du folklore Ibérique. Dans le cas ici cité de ces deux personnages, ils ont en commun leurs racines conjointe régionale, celle de la région centrale de Castilla la Mancha. Sous développé en à peu prés tout, sauf dans celui des champs de culture qui s’étendent sur les cotés de la route. C’est une région agricole où pousse de tout et est remplie de moulin a vent, au cas si Jean Rochefort souhaite finir le film de Don Quichotte et Jess Franco si il veut s’y remettre également. Escudero et Garcimore ont fuit donc la Loose locale pour faire leurs vies et ceci plutôt bien au final.


Dans un reportage de Capital sur M6, j’ai beaucoup appris du premier. Après les ouvertures des frontières de la zone Europe et le chômage qu’il a engendré, la municipalités du village frontalier de La Jonquera s’est vue recycler de poste douanier à contrebandiers quasiment, ceci en travaillant pour les magasins d’Escudero notamment. Qui s’est dédier alors à vendre presque à juste un mètre après la frontière des produits avec beaucoup moins de taxe. Ceci car la municipalité locale lui à céder les terrains pour construire ces magasins le long de la nationale au look eighties une fois passer la frontière. Une fois les bénéfices engendré il fit fortune en installant plusieurs franchises, les une à coté de l’autre. Il fit fortune ainsi, il à désormais une mansion énorme, digne d’un propriétaire terrien comme on en voit dans les séries Sud Américaine et à un sale caractère envers ces employés issus de ces latitudes ,quand on le croisse dans un de ces rayons pour faire tourner à fond la boutique.


L’autre cas est celui d’un comique qui fit rire tout le monde grâce à ses tours de magie et son accent dont il aimer en jouer. Musicien à l’origine, il monta à Paris pour tenter la vie d’artiste, chose qu’il réussi à faire au final. Il aimer amusé en faisant croire que ces tours ne marchait pas et en plaçant l’absurde sur la tapis, jouant de son accent, de sa bonne humeur et de ses expressions pour plaire et faire rire plus que tout. Avec sa coupe de cheveux, son rire si particulier et ses yeux tout rond et malicieux, tout laisser présager un comique plus qu’un magicien. Il ne se prenait pas aux sérieux et était d’une modestie incroyable se contentant de peu à chaque temps lui étant consacré « On Air ». Lorsque il rencontra son double, sa Némésis moderne le plus sérieux et mercantile, bien que très bon magicien moderne portant un nom Dickensien sur le plateau de Nulle Part Ailleurs, il fit rire tout le monde à ses dépend. En le faisant passer pour le clown blanc de la piste de spectacle, tout ceci avec élégance et sans mépris en trente secondes seulement. Plus tard malheureusement il tomba dans l’oubli et resurgit de temps à autres dans des publicités, où son génie éclata pendant quelques secondes encore. Après ça dernière apparition fut chez Patrick Sébastien, qui souvent fait part d'exposition médiatique à toutes sortes d'artistes et c'est à souligner. C’est alors que quelques nostalgiques surent sa mort en 2000, ignorer alors par les médias qui l’ont exhibé pendant si longtemps, sans aucun hommage ni quasiment aucune référence à sa disparition et dont le temps passé parait déjà énorme pour une personne si populaire.


Ce sont la deux personnes qui ont réussi leurs vie, à différents niveaux mais sachant profitez d'une situation pour en tirer des avantages divers et en être reconnue.


D’autres Manchegos sont trés bon aussi et font figure d'héros moderne, mais cette fois ci dans le champs propre de la culture Espagnole, en voici quelques exemples.

Notamment le joueur du F.C. Barcelona, Andrés Iniesta, milieu de terrain évoluant sur la gauche, surnommé « le lutin d’Albacete » pour sa petite taille. Champion d’Europe avec l’Espagne en été 2008, il fait des merveilles avec le ballon, marqua un but contre la Belgique en phase éliminatoire du prochain Mondial monumental et fait souvent oublier Ronaldinho sur les bandes, en étant tout son opposé physique mais tout aussi bon. Il est facilement reconnaissable, il est très réservé, joue très bien et est très blanc de peau.

Il y a également « le trio D’Albacete » que forme le groupe comique Muchachada Nui. Équivalent Ibérique de Groland en plus absurde, tirant plus vers les Monty Python et en moins crade (parfois). Ils font les beaux jours de la chaine publique TVE2 en faisant rire avec leurs sketchs d’imitations, de doublage grotesques et de situation loufoque. Pour ceux qui comprennent l’Espagnol c’est à voir. Avec ses finesses, tout comme son coté le plus vulgaire pour pouvoir l’apprécier.

Je n’oublie pas dans cette liste minime et arbitraire, le plus connue de la région, le fils du pays, celui qui la mise en image et en situation comme personne, Pedro Almodovar. Son physique Ibère et sa vision lui ont permis d’être avant-gardiste avant tout le monde dans ce pays dans les années 80, et grâce à sa vision à la fois folklorique et parfois vulgaire du monde, il parvint à être un grand cinéaste.


La grâce et la rigueur, à croire deux vertu Manchegas on dirait, valeurs pour lesquelles Don Quichotte se battait. Même contres des chimères parfois, comme ses compatriotes régionaux tout en sachant d’où ils venaient mais en tentant le coup avec brio et avec leurs qualités.



jeudi 29 janvier 2009

Jacques Cousteau & Jacques Clouseau.




Ils étaient les deux représentants autrefois de la France, l’un dans la fiction et l’autre dans la réalité. Chacun avait ses signes reconnaissable, l’un avec son bonnet rouge comme élément distinctif et l’autre avec son imperméable, son chapeau et sa moustache, comme signe particuliers à première vue.

Bien qu’il fût interpréter par le génialissime acteur Anglais Peter Sellers, Jacques Clouseau est dans son être et son essence un personnage typiquement Français. Dans sa façon de parler l'Anglais si charmante grâce à l’accent Français qu’il su imiter si bien, à sa façon si pédante de jouer également mais sans trop en faire, juste ce qu’il en faut. Il correspond à un archétype de antihéros à la française, qui plait et qui marche au prés du public, car les français se reconnaisse dans ce modèle suffisamment pour en rire. Il y à de nombreux personnages qui rentre dans se cadre ; commençant par Jacques Tati, peut être le modèle principal de l’inspecteur. Grand nigaud, vêtue d’un imperméable, un petit chapeau et déambulant sans savoir à quoi s’attendre , mais qui retombe toujours sur ces pattes. Sinon Pierre Richard, l’autre penchant du naïf français, qui subit à ses dépend les actions des autres mais à qui la chance lui sourit toujours. Le même cas pour les autres acteurs ayant interpréter aussi à François Pignon avec plus ou moins de réussite, passant de Jacques Brel jusqu'à Gad Elmaleh. Sinon dans la culture de la bande dessiné, avec Gaston Lagaf, idole des plus jeune, qui est l’employé de bureau sot qui n’en fait qu’a sa tète de bourricot sans jamais réussir à se faire mettre dehors.

Cousteau lui est l’autre facette du Français si admirer, celui qui explore, qui cherche, qui explique, un personnage de Jules Verne en vrai. Son coté patriarcal et son savoir quasiment encyclopédique sur le monde marin l’a rendue légendaire par des légions de téléspectateurs et pas seulement en France. Le fait d’explorer ce monde si inconnue et mystérieux des fonds marins, qui est régit par le monde animal du silence et tente de nous en familiariser devient alors merveilleux. Son coté aventurier, baroudeur des mers lui vient de son passé militaire, il à su mettre son expérience et son courage du côté de la recherche scientifique pour explorer de façon pacifique (terme jamais mieux utiliser) les océans. Son élégance, sa façon de mise en avant, sa générosité même à un âge avancé ont fait de lui un capitaine de cœur pour beaucoup de gens et à donner une poésie à un monde si peu connue et fascinant, qui est celui des profondeur des fond marins. Son impétuosité, son caractère n’a rien du cliché français de pleurnichard, ni de pas savoir se débrouiller, d’être en recours d’une certaine malice en somme. Ce n’est pas son cas, avec toute la justesse du monde, il traverse les mers et analyse et étude la faune des profondeurs avec grâce.

A la fin, l’inspecteur tente de résoudre l’enquête dans un déluge d’un monde absurde au possible, et le commandant explore un monde ou la naïveté et la principale qualité à avoir pour pouvoir l’apprécier.
Jacques à dut regarder, Jacques à dut rigoler.