mardi 25 janvier 2011

Bande Originale imaginaire pour OSS 117, Rio ne répond plus


Serge Gainsbourg, SS In Uruguay.

L'agent Hubert Bonisseur de la Bath se doit de faire un détour par Montevideo en Uruguay, au cours de sa mission, ceci afin de rencontrer un autre ancien  dignitaire SS nazi qui pourrait l'aider dans sa quête , il à trouvé lui refuge la bas. Ils avaient autrefois lutter durant le conflit dans les deux clans différents. L'agent OSS 117, malgré sont rejet idéologique, le trouva fort courageux car malgré tout, il avait  lui aussi des idées et le trouvais fortement magnétique. Il traverse pour ce faire toute la partie sud ouest du Brésil, pour rejoindre le petit pays voisin, au son de cette chanson de Serge Gainsbourg, totalement anachronique à cette époque. 




 Bernard Lavilliers, Fortaleza.

Au cours de lors d'une de ces enquêtes nocturne, pour glaner quelques preuves dans les bas fond de Rio, le plus célèbre des agents secrets rencontre une jeune femme, dans  un bar de la banlieue de ville. Au départ il lui fit son numéro de séducteur si naïvement. Celui-ci marcha. Elle l'entraina dans le cœur de la  nuit de  la ville, dans un mélange de tristesse, de passion et de retenue.

Don't Speak


"L'âge d'homme". Raphael Fejto. 2006.

La scéne de ce film, qui parait plutôt une fausse suite des aventures du duo Klapisch et Duris  est la plus drôle et la plus intéressante de ce long métrage.  De par le fait qu'elle ose parler de ce genre de moment la, si intime mais souvent ridicule. Et dans le fait que l'on ne s'attende jamais à voir dans un film de type  conventionnel ce genre de scéne si osé, dans un film aux allures si populaire de nos jours. Qui est une satturation sur les rapports sociaux qui emploie le verbe à tout bout de champ, et non sur le rapport physique, laissé à l'imagination. Voir Romain Duris enfin se taire, et ne point savoir que faire et dire est assez rare alors. Être un jouet  dans les mains d'une maitresse autoritaire et faisant bon nombre d'analogie sur le sexe en devient assez jouissif.

mercredi 19 janvier 2011

Rire de tout en France

 
Si même TF1 le dit.

De tout oui, mais quand c'est drôle, c'est encore mieux. La grâce est une qualité qui n'est pas donné à tout le monde. Et dans ce cas présent, ces deux comiques, apparue tout récement non pas à attendre le poids des années, de l'experience pour etre eux meme. Ils n'ont  peur de rien, ne se cache pas derrière du déjà fait et explore de nouveaux thèmes.
Bien que très récent que soit ce sketch et son auteur, Malik Benthala, avec la blague sur la Tunisie est déjà caduque et on ne peut que s'en réjouir. Il devra pour cela ne plus l'intégrer à ces spectacles, et ira surement avec son talent vers d'autres rivages de l'humour.

mardi 18 janvier 2011

Peter Sellers chez Kubrick

Lolita, 1962.

Peter Sellers à été toujours un grand insatisfait de ses films. Il trouvait la comédie faiblarde et facile, même si il en était le maitre à une époque. Il se trouvait dedans pitoyable et mettais le genre dramatique bien plus haut. Mais de la son refus de se conformer à la gloire, fit de lui qu'il essayait à chaque fois de faire autre chose. De pousser les limites encore plus loin.
De la bouche de son meilleur ennemie, Blake Edwards, les seuls films dont il était fiers était ceux qu'il avait fait avec Stanley Kubrick. Chez lui, il servait un personnage avec des valeurs,et la s'exprimer tout son talent et sa force d'interprétation. Dans des rôles inquiétants, dramatiques, pitoyable, vils. C'était bien avant son succès comique, mais déjà pointé la son charme évident et son flegme britannique, avec des accents différents employés à contre emploie. Son apogée vint avec Doctor Strangelove, ou il interpréta trois rôles différents, presque un quatrième si il ne s'était pas blessé et le cantonna pour le dernier à un fauteuil roulant. Du plus banal des président Américain, au soldat Britannique flegmatique, jusqu'à l'ancien nazi absolument dingue, il montre encore une fois toutes l'étendue de ses capacités.

La meilleure publicité possible pour Coca-Cola Company.

Doctor Strangelove, 1963.

lundi 17 janvier 2011

Deleted scenes

Les scènes coupés d'un bon film le rallonge, sans que cela en soi un défaut. Elle le rende plus intrigant, nous en donne plus. Ceci à été l'objet d'une réflexion de son auteur, ou d'autre décideurs. En rapport à un choix  donné, qui va de la sens d'une harmonie du film, à laquelle il est obligé de passé, au détriments de certaines de ses idées, mais que malheureusement doivent être opérer. Pour cela, il faut donc s'en débarrasser. 

Ensemble des scénes coupés du film Heat, de Michael Mann. 
 

Les scènes coupés d'un mauvais film sont étranges, car elles aurait pu au contraire l'améliorer. lui donner un autre air. Le rendre moins pathétique. Ou sinon parfois, la sagesse à parlé d'elle même.


dimanche 16 janvier 2011

Just dance

The Pink Panther, 1963.
 A la base dans ce film il n'était qu'un acteur secondaire, mais il à tous emporté sur son passage. Du premier rôle attribué au charismatique David Niven  ici au premier plan, jusqu'au numéro musical ou on ne voit que lui, il  s'impose de lui même.


The Party, 1968. 
Le titre de la chanson est bien trop nihiliste pour être de la samba. Ce mélange de No future et de saudade donne une touche étrange et mélancolique à ce moment. Mais ceci est composé par la présence de l'Indien le plus gaffeur juste derrière. En ne faisant rien déjà il fait beaucoup.

mardi 11 janvier 2011

Voir défiler les choses

The Party, Blake Edwards, Peter Sellers, Henry Mancini.  1968.
1:54 
 
Voici deux scènes de films avec les comiques impliqués dans un post précèdent, afin de signifier le talent  évident de ses deux protagonistes, mais à diverses échelles et à travers un exemple d'ordre similaire. Ces deux moments sont la preuve que par le même gag visuel d'un élément qui échappe totalement à celui qui l'utilisait. Qui est le papier toilette qui n'arrête pas de tomber dans le premier, et du même phénomène avec les sacs pour emballer les fruits dans le deuxième. C'est le même recours, on constate la répétition d'une forme, dans un autre contexte, tout en gardant la force comique de l'action.
Le premier est totalement burlesque, quasiment muet. Il est le résultat du pire et du plus drôle qui puisse se produire dans des toilettes, même les éléments deviennent absurdes et improbables envers celui qui vient dans ce lieu si anodin. Le deuxième, moins drôle car plus grotesque, mais toujours dans un lieu aussi domestique, qu'est le supermarché. Il est de nature commune envers un objet du quotidien, qui révèle lui aussi sa porté comique, envers celui qui ne s'y attend pas. Au grand bonheur du spectateur, encore une fois.
Grâce à cette même idée dédoubler, inspiré du quotidien, le comique de situation s'infiltre dans le plus banal.

  Naked Gun 33 1/3 : The Final Insult, ZAZ, Leslie Nielsen. 1994.
0:20 

lundi 3 janvier 2011

Un seul dieu ( l'humour) dans trois manifestations ( Chaplin, Sellers, Nielsen)

A vous de mettre un des nom sur chaque différents adjectif de ce schéma.
  
Dans une récente émission à la télévision consacrée au cinéma, il était question d'humour lors d'un débat entre plusieurs participants. Michaël Young était présent et évoqué également le récent décès de Leslie Nielsen. Père de l'absurde et maitre absolu de la comédie moderne contemporaine et même plus, dans lequel Young ne peut que reconnaitre un exemple et y faire des éloges. Dans une grande sagesse, il l'évoquait avec nostalgie et en le plaçant dans une continuité d'une façon de faire de l'humour, et  en le plaçant ainsi au panthéon des grands comiques, avec Charles Chaplin et Peter Sellers comme référent et dans une certaine forme de continuité, que dans les deux derniers, à chaque fois il y ai un peu de son prédécesseur. Il formait pour lui une trinité, dont chacun des deux derniers récupérait un flambeau, un héritage et allaient ainsi au-delà à chaque fois. Ce n'est pas un acquis pour chacun d'avoir était adoubé de leurs temps, de tout temps les comiques ont lutter pour s'imposer et faire reconnaitre leur talents par leurs contemporains, souvent ce fut  bien longtemps après leurs époques ou ils méritent alors la gloire et sont sanctifiés la plupart du temps après être  disparues. Dans cette optique, il est bon la reconnaissance ces derniers temps, grâce à la ressortie des films de Pierre Étaix , pour lui rendre la place qu'il mérite dans l'histoire du cinéma.

  Donc, ces analogies de Young sont peu concevables, étant donné le talent des deux Anglais, dont l'évidence est claire, et surtout celui qui a la plus courte fausse moustache des deux. Mais avec le temps,  l'histoire de la comédie au cinéma vit arriver la parole et du alors s'adapter, finit le slapstick et le grotesque muet et son apogée. Malgré tout, Sellers est un grand à l'heure de jouer sur un ton burlesque, digne de la génération passé. Il s'est faire le bête à merveille, il utilise son corps de manière risible assez souvent, que ce soit sous un déguisement ou en ne plissant pas un mot, juste avec sa présence il est souvent insupérable à pouvoir ainsi décrocher un sourire chez le spectateur. A quoi il rajoute un grand talent pour la comédie et un sens inné de l'interprétation très profond de ses personnages, allant du registre de la comédie jusqu'au drame, ceci de manière passionnée et sincère. Il réunit toutes les qualités du cinéma parlant et muet en le voyant sous ces deux angles d'approches. Il suffit parfois de le voir sur l'écran pour sourire et qu'il ouvre sa bouche pour rire aux éclats.

  Difficile semble-t-il de faire mieux, non effectivement, mais pire oui. Dans un registre donné, il faut souvent aller au delà de ce qui s'est déjà fait, se basant sur ce qui fonctionne, en y apportant autre chose et en innovant pour faire évoluer le style et peut-être ainsi imposer de nouvelles normes. Leslie Nielsen n'était pas un comique à la base, n'y même un grand acteur, souvent vue à l'écran comme acteur secondaire et encore moins drôle. Il a joué dans un grand classique de la science-fiction des années 50,  " la Planète Interdite", où le robot Robby était plus connue que lui et dont l'histoire est une transposition de l'œuvre de Shakespeare la Tempête sur une planète lointaine. Dans les années 70, il joue dans le film catastrophe "Poséidon" le commandant de bord, de manière totalement anecdotique et de façon lointaine. Un de ses meilleurs rôle même ayant commencé sa carrière comique, est celui d'un mari trompé devenue un assassin dans un sketch du film " Creepshow".  Il n'y avait rien chez lui qui invitais au rire, de par sa grande taille, son air sérieux et son côté professionnel, toujours  occupé à autre chose. Mais le tournant et le succès de sa carrière interviennent fort dans tard dans la sienne, avec " Il y à t'il un pilote dans l'avion ?". Qui est une absurde comédie et une parodie de film catastrophe devenue un modèle du genre. Groucho Marx a eu dit une fois  ce que semble un règle primordiale de la comédie; ceci concernant une de ces actrices qu'il trouvait superbe et insupérable car elle ne savait pas qu'elle faisait une comédie, et pourquoi ces réactions et son comportement était bien meilleurs car elle ne jouait pas, et  qu'elle n'avait pas besoin d'en savoir plus.C'est un peu le même principe pour Nielsen, mais lui n'a pas le physique de l'emploi, mais joue avec cette image et au fait de ne pas sembler être à sa place. 

Il va donc plus loin dans l'absurde que ses prédécesseurs, à son âge de gloire et avec des cheveux gris, on est un monsieur respectable, avec beaucoup d'expérience et de sérieux. Voilà ce qu'il dégage comme éléments extérieurs et qu'il détourne à travers ses films comiques par la suite. Chaplin et Sellers avaient leurs jeunesses, les déguisements, la vitalité et leurs côtés polisson pour faire rire, alors que lui c'était vraiment tout autre chose. Une respectabilité du sérieux mis à mal depuis l'intérieur même.

dimanche 2 janvier 2011

Allez voir sur la montagne si j'y suis.

The Holy Mountain, Alejandro Jodorowsky.

Totò Che Visse Due Volte, Ciprì et Maresco.

Avida, Benoît Delépine et Gustave de Kervern.