mardi 18 janvier 2011

Peter Sellers chez Kubrick

Lolita, 1962.

Peter Sellers à été toujours un grand insatisfait de ses films. Il trouvait la comédie faiblarde et facile, même si il en était le maitre à une époque. Il se trouvait dedans pitoyable et mettais le genre dramatique bien plus haut. Mais de la son refus de se conformer à la gloire, fit de lui qu'il essayait à chaque fois de faire autre chose. De pousser les limites encore plus loin.
De la bouche de son meilleur ennemie, Blake Edwards, les seuls films dont il était fiers était ceux qu'il avait fait avec Stanley Kubrick. Chez lui, il servait un personnage avec des valeurs,et la s'exprimer tout son talent et sa force d'interprétation. Dans des rôles inquiétants, dramatiques, pitoyable, vils. C'était bien avant son succès comique, mais déjà pointé la son charme évident et son flegme britannique, avec des accents différents employés à contre emploie. Son apogée vint avec Doctor Strangelove, ou il interpréta trois rôles différents, presque un quatrième si il ne s'était pas blessé et le cantonna pour le dernier à un fauteuil roulant. Du plus banal des président Américain, au soldat Britannique flegmatique, jusqu'à l'ancien nazi absolument dingue, il montre encore une fois toutes l'étendue de ses capacités.

La meilleure publicité possible pour Coca-Cola Company.

Doctor Strangelove, 1963.

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