mercredi 8 décembre 2010

Les coups de langue

Le fait d'habiter dans un état ou une région où il y est aux minimums deux langues nationales, doit se voir comme une richesse, et non un problème. C'est un avantage de pouvoir apprendre et ainsi s'exprimer dans deux registres de langues, qui sont à voir comme des outils. Tel que l'exemple de la Belgique ou de la Catalogne, pour regarder à côté. Ce qui invite ces concitoyens à envisager les éléments, et de reconsidérer les choses de deux manières différentes, au minimum. Car ces citoyens sont constamment stimulé, invité, prier de s'exprimer pour dire la même chose de mode distinct, car avec la liberté primaire qui est celle du choix de la langue. Ce qui implique, à partir de la une polysémie toute naturelle au quotidien, une logique de pensée parallèle qui se côtoient et qui sont facilement interchangeable alors. La langue est alors un outil et à travers laquelle passe des idées, rien n'est plus facile alors de s'en servir pour faire des contresens, des jeux de mots et narguer les positions dominantes de pouvoir, par exemple.

Je base cette constation, sur le point commun entre la Belgique et la Catalogne, deux pays où le surréalisme a fait école et est réputé pour ça dans le domaine artistique. Ce n'est pas innocent à mon sens, cela vient du fait du choix de l'expression, qui ne se retrouve pas bloqué à un seul moyen d'expression, mais des deux déjà à la base. Et ouvre ainsi, la base pour une liberté plus grande par la suite.

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